La page de la citrouille

Bienvenue sur cette page qui acceuillera simplement quelques textes de ma composition.

 

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Une photo de moi, la citrouille, dans les catacombes ( voir la page à superflux) :

 


 

Petit poème d'écriture

 

Tu lira ma première lettre alphabetique en majuscule.

Les nuages de papier, et les pluies d'encre voilettes y ont déposés une goutte d'écriture.

Un geste de poesie dans une monde préposé entre parentèse.

Les orages de l'esprit brouillon cherchent à m'encadrer dans un receuil vierge.

sans espoir... la vie n'est qu'une histoire coupe-papier.

mon receuil s'entrouvre et se découpe.

mon espoir s'anime, et se décime...parfois

 


 

Beaucoup de gens de surface

Sont beau, sentent bon,s'habillent classe

Ils pensent qu'avec leurs parures

Ils doivent avoir fière allure,

Mais ce qui fait le bonheur,

N'est pas superficiel,

C'est la profondeur de la terre

Et celle de votre cervelle.

la citrouille

 


 

Avez vous déja réalisé notre faiblesse de petit homme?

 

Avez vous déja réalisé notre faiblesse de petit homme?

 

Quand je regarde les étoiles, je me sens toute petite, toute faible, toute terne.

et dire que, de cette distance infinie, on peut les voir, mias que nous, ô faiblesse humaine, on reste ignoré de toute la galexie...

 

Avez vous déja réalisé notre faiblesse de petit homme?

quand je regarde la mer, je me sens toute petite, toute faible, et sans mystère

et dire su'en une suele vague elle pourrait nous submerger, nous emporter dans ces profondeurs intouchées et nous faire visiter cet univers, ua delas des continents.

mais nous, pauvres petit homme condamné à rester sur nos pieds...

 

Avez vous déja réalisé notre faiblesse de petit homme?

regardez la hauteur des montagnes, imaginez la profondeur de la terre,

quand j'y voyage, je m'y sens toute petite, toute fragile.

 

Sivous vous sentez encore supérieur, je vous conseille vivement d'aller faire un tour, dans ces galleries à priori sinistren où la résonnance de vos pas, de vos voix atteint directement les entrailles de la terre, notre mère.

Mefiez vous de vos paroles ... Ils suffirait qu'elles déplaisent ... un éboulement ... des galeries disparaissent, réaparessent, rétrécissent, se déforment ...

 

dans ce labyrinthe, rapelez vous toujours, vous n'êtes qu'un petit homme...

 

 

 


Une bizarrerie

Sous les étoiles, dans un fond de ronron, seuls éveillés, qui sais ce qu'il s'est passé?

Si ça ne durrait qu'une nuit, l'aube me fairais pleurer

Si ça durait l'éternité, ça ne durerait pas encore assez

 

Moi, assise en face de toi traversant  des pays magnifiques des contrées les plus étranges... Dans ce voyage sans fin, au milieu d'êtres endormis, nos âmes communiquaient sans la moindre parole, nos yeux s'étaient rencontrés dans la mélancolie de cet instant, nos coeurs battaient ensemble le rhytme d'une chanson qui nous poussaient l'un vers l'autre.

Ta main à éfleurée la mienne, dans un geste de tendresse, tu t'es penché vers moi. Ma main à éfleurée la tienne, elle glisse sur ton corps...   Debout dans l'allée, tes bras étranglent ma taille, les miens s'enroulent à ton corps.

Un frisson de folie, une vague de tendresse, un cyclone d'amour, tout s'arrète des larmes coulent...

Nos corps enlassés vont bientôt s'étouffer. Mais ce serait la mort la plus belle, que deux personnes qui s'aiment dans un élan d'émotions, libereraient toutes leur passion...

C'était la première fois, pourtant, on se connaissait pas. un peu de douceur pour soulager nos coeurs. Un instant, souvenir  pour longtemps. C'était la providence, peut être un signe de la chance?

C'est fini aujourd'hui, tu es partri la bas, je suis rentrée chez moi.il n'en reste rien, un vague souvenir, comme un  reve déjà oublié...

Il n'y a rien à regretter.

Parfois je me demande ton devenir. Comment te prévenir...Tu n'a ni nom, ni famille, ni adresse. Tu change d'amis constament. Il m'est impossible de te joindre...

 

Que cette histoire soit vraie, ou fasse partie de mes fantasmes, à toi de deviner ... ;-)


 

Et pour finir en beauté, une pensée philosophique de la souris, qui comme chacun sait est la meilleure amie de la citrouille :

" La vie, c'est comme une grande tartine de merde,

et chaque matin, on s'en prend une pleine bouchée ".

Bon appetit!

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